Rugby, boxe, bien sûr, mais aussi Formule 1, sports de glisse, cyclisme, équitation… tous les sports sont concernés par les commotions cérébrales. Cadences infernales, athlètes surdimensionnés, impacts physiques démesurés, la situation ne peut plus durer. La boîte crânienne, elle, reste inextensible et le meilleur casque ne pourra jamais empêcher une commotion. Or une commotion aujourd’hui, outre le risque redoutable du « syndrome du second impact », ce peut être, dans dix, vingt ou trente ans, des pertes de mémoire, une dépression chronique, des anomalies de comportement et, dans le pire des cas, la fameuse « démence pugilistique » que l’on croyait, il y a peu encore, réservée aux boxeurs, un état qui serait un mélange de Parkinson et d’Alzheimer et que l’on retrouve également chez les rescapés des champs de bataille.
Avant qu’il ne soit trop tard, le Dr Chermann tire la sonnette d’alarme. Si la lecture de ce document, qui s’ouvre sur l CLIQUEZ ICI POUR TÉLÉCHARGER LIVRE